Quand je passe l'aspirateur, quand je popotte, quand j'époussette ou quand mon chum fait le lavage du petit, nous contribuons au produit intérieur brut (PIB) du pays, selon l'Afeas. En 1992, la valeur du travail invisible représentait 34,0% à 54,2% du PIB, soit entre 235 et 374 milliards $ (Selon Statistique Canada, Enquête sociale sur le travail non rémunéré, 1992.)
Le 7 avril 2009 est la 9e journée du travail invisible et l'Aféas profite de l'occasion pour demander à la ministre d’État à la Condition féminine, l’honorable Helena Guergis, de faire en sorte que Statistique Canada évalue et comptabilise le travail non rémunéré, dit «invisible», effectué par les Canadiennes et les Canadiens, et ce, d’ici 2012.
La dernière fois que de telles données ont été compilées pour le Canada, c'était en 1992.
"L’Afeas réitère l’importance pour le Québec et le Canada d’évaluer le travail non
rémunéré au sein de la famille et de la comptabiliser au Produit intérieur brut (PIB), comme
ils se sont engagés à le faire lors de la Conférence internationale sur les femmes, à Beijing.
Particulièrement, en temps de récession, le travail des familles, surtout celui des femmes,
augmentera. Comment les aider si nos gouvernements n’en tiennent pas compte? "
Réaliste?
4/07/2009
Le travail invisible compte-t-il?
Publié par :
Christine Simard
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